Poèmes | Worldofchristow

GENESE: LE MASQUE
Que le masque de cette individu tombe
L'image de l'enfant des lumières
Qu'elle soit envoyé dans une tombe
Car celle-ci n'est plus une réalité.

Celui qui a porté si longtemps le masque
n'a apporté sur lui que le mépris des autres
qui n'ont pas vu l'être caché dans son âme
ils n'ont jamais compris...

Que la lumière ne fut qu'une illusion
Que tant ont cru voir en lui
Mais n'ayant jamais entendu le son
Du second enfant grandissant dans l'ombre

Le temps de la faiblesse est révolu
Car c'est dans la profonde souffrance
Que s'enflamme le sombre haïssement
Et que sonne la fin de l'enfant des lumières

La lumière ne fut qu'une illusion
Que tant ont cru voir en lui
Mais n'ayant jamais entendu le son
Du second enfant grandissant dans l'ombre

Maintenant le temps est venu
Le masque tombé, dans la désespérance
Voyez, hommes, dans son commencement
la naissance de l'enfant des ténèbres

La lumière ne fut qu'une illusion
Que tant ont cru voir en lui
Mais n'ayant jamais entendu le son
Du second enfant grandissant dans l'ombre

LA MELODIE DES TREFONDS

"Nous venons des Ténèbres
Nous sommes les Ombres
Nous voulons voir votre Sang
Nous apportons le Chaos"
Entendez-vous cette mélodie
Elle vient des Tréfonds
La rumeur se répand
Le chant des ombres sonne aux portes de l'enfer
"Nous venons des Ténèbres
Nous sommes les Ombres
Nous voulons voir votre Sang
Nous apportons le Chaos"
Entendez-vous cette mélodie
Elle est le prélude
La rumeur se répand
C'est le commencement de la fin
"Nous venons des Ténèbres
Nous sommes les Ombres
Nous voulons voir votre Sang
Nous apportons le Chaos"
Entendez-vous cette mélodie
Elle est le message de la mort
La rumeur se répand
L'enfer se libère sur la Terre

"Nous venons des Ténèbres
Nous sommes les Ombres
Nous voulons voir votre sang
Nous apportons le Chaos".

LES CORBEAUX

Serviteurs du Néant, volant dans les airs
Les Corbeaux sont les messagers du commencement
De la fin des temps, de l'achèvement
Transportant le mauvais présage sur mer et terre

Regardez leurs ailes devenir à l'unisson une tempête
Tout disparait dans l'immense vague menaçant
Mais bien pire est leur message glaçant
La peur s'inscrit sur toutes les têtes

Goute-moi, et je te gouterai

tes lèvres contre les miennes
les sangs s'entremêlent
le plaisir dans la douleur

No hate, no love, no chance at life, the heart will worm its way inside "

Heartworm-by Psyclon Nine

Je suis ombre, frère de la mort, fils des Ténèbres, j'ai toujours vécu ainsi je vivrai toujours ainsi.
la nuit me va à ravir, je n'ai à craindre de personne car je suis toujours seul, seul mais bercer par la noirceur et la haine
L'amour ne vaut rien, la compassion est inutile, ces sentiments sont amères à la bouche.
Je n'ai pour coeur que le néant, je ne porte aucune lueur d'espoir dans mes yeux car mes yeux sont vide de lumière
Je me nourris de la souffrance et de la peine du monde et le monde ne mérite que la dévastation de ces sentiments
le meurtre est abominable, la torture est seule source de réconfort
les larmes sont pour les faibles, la fragilité est pour ceux qui doivent être éradiquer
Les ombres n'ont ni larmes ni voix...ils sont le silence et le silence est mort
Bannis du paradis, l'inexistence, je erre sur l'enfer, la terre, en attendant que la seule sauveuse, la mort, me fauche
osez-vous vous regarder encore ? Alors c'est que vous n'avez pas encore assez souffert pour devenir monstre, ma destinée
Mais je ne m'apitoie pas contrairement aux autres, j'ai choisi de le devenir pour être plus fort
Mère noire donne-moi ton sang, ta haine du monde, pour réduire l'espoir à néant
Et lorsque le monde sera chaos, je me poserai au-dessus, en souriant de sa fin pitoyable

Devenez le loup, le fossoyeur, la main de fer
Viens monte, rejoins-moi là-haut,
Tout ce monde est si beau,
Dans les flammes, dans le désespoir,
Massacres et viols, aucun échappatoire,
Ne pleure pas ceux d'en bas,
Ils méritent ce qui sur eux s'abat,
La pauvreté et l'injustice
Il les votent et les subissent.
Enculés, ne critiquez pas les enculeurs,
Car vous élisez vos propres détracteurs,
Ironie de la démocratie, dictature de la majorité,
Peur de la liberté , vous votez la sécurité,
Mais et les autres sont-ils meilleur, pour autant
Non peut-être encore pire, passant leur temps,
A se plaindre, comme Jeanne, ils ne font rien,
Cautionnez et silence, vous, les mauvais citoyens,
La question n'est pas : que devons-nous faire,
pour changer ce monde en pleine décadence,
ridicule est de vouloir le modifier,
devenez le loup de la bergerie, au contraire,
devenez le fossoyeur du monde, imbibez-le d'essence,
et soyez pour le pouvoir, la main de fer

QUELQUES VERS POUR UNE ROSE BLANCHE
Dans ce monde qui est un immence océan
Je sais que mon coeur s'emballe bien vite
Moi, qui ne suis qu'un rêveur idéaliste
Mais dès l'instant de tes yeux posés sur les miens
Que je me suis perdu dans les tiens
Ta beauté est tel les pétales d'une fleur
Qui exalte une jeunesse éternelle
(...), toi qui es une rose blanche si pure
Le son de ta voix est comme un doux murmure
Cependant je n'oses m'y piquer par peur
De me brûler à tes épines mes ailes

Bien que l'envie n'en soit que plus grand

CE QUI ME FAIT VIVRE

je vis dans un monde bien sombre
Où ne régne que les ombres
La souffrance et les cris
Sont le quotidien de ce monde meurtri

La guerre et la foideur voila se qui composent
Ce monde dont la vie se décompose
Des hommes, femmes et enfants qui ont si faim
Dans ce monde qui tourne à sa fin

Pourtant dans les Ténèbres
Je continue à faire face au givre
Car au loin je vois la lumière
Qui me donne envie de vivre

C'est ce sentiment qui fait de moi
Un homme encore un peu libre
Ce sentiment n'est fait que pour toi
L'amour, c'est ce qui me fait vivre

Le feu et le sang règnent sur les océans
La braise et la mort sont amenées par un vent
Le monde s'arrête, la nature se meurt
Et bientot se sera le tour des hommes qui ont peur

Pourtant dans les Ténèbres
Je continue à faire face au givre
Car au loin je vois la lumière
Qui me donne envie de vivre

C'est ce sentiment qui fait de moi
Un homme encore un peu libre
Ce sentiment n'est fait que pour toi
L'amour, c'est ce qui me fait vivre

Oui, le monde peut s'effondrer
Tant que mon âme peut aimer
Je continurai à faire face au givre
pour ce qui me donne envie de vivre

C'est ce sentiment qui fait de moi
Un homme encore un peu libre
Ce sentiment n'est fait que pour toi
L'amour, c'est ce qui me fait vivre

La soirée est à son plus haut...

la soirée est à son plus haut

la main, une bouteille de bière
Tu m'emmènes voir là-haut
Loin des regards, loin de la lumière

Dans l'obscurité, tu trouves cela amusant
Lorsque ton visage disparait juste devant moi
Mais tes mains ne cessent de me guider vers toi
Et nos corps se rapprochent, se frolent

Je te sens si proche de moi, dans la nuit éternelle
Et tu te te penches tout près de mon oreille
me murmurant doucement; approche-moi
touche-moi, embrasse-moi, aime-moi

Et nous avançons dans le noir; en nous monte cette fièvre
Je sens ton pouls de ta gorge sous mes lèvres
Tes cuisses si douce me sont brulante au toucher
L'un contre l'autre; le fruit interdit consumé

La terre peut toujours tourner
Les ténèbres; seuls témoins de cette union
forment notre citadelle

Le monde peut demain s'effondrer
Nos corps ardents sont en fusion
et l'amour nous est immortelle

Ma rose noire, mon coeur sombre
Ma rose noire, mon coeur sombre
tu es cette petite fleur éternelle
que j'ai trouvé dans les ténèbres
et pour laquelle mon amour est immortel

Lors de notre premier baiser, sous une lune ronde
j'ai perçu la beauté de ton visage scupté dans le rêve
et je vis ce regard vibrant et d'une eau profonde
lorsque je sentis contre les miennes tes lèvres

depuis c'est une constante envie de toi
que de passer mes doigts dans ta chevelure rousse
de sentir ta peau exquise et suave contre moi
afin d'écouter la mélodie de ta voix si douce

et lorsque je goute à ton orgasme
ta chaleur m'embrase tout comme l'air
et de ta intense joie, tu laisses couler des larmes
qui sont pour moi un présent des plus sincères

car tu es ma rose noire, mon coeur sombre
tu es ma petite rose noire, mon coeur sombre
et nous dansons dans les ténèbres
dans cet amour qui nous est immortel

UNE GRANDE MELANCOLIE

Un poème brûle au feu de la cheminée
Un poème d'amour qui n'a pas de destiné
Sur la table d'obsdienne se tient un crâne fendu
A côté un grand verre de vin qui est trop souvent descendu

Un homme qui est poète est un homme trop romantique
Qui vit dans le rêve, dans in monde iddylique
Mais qui finit souvent dans la mélancolie
Oui... dans une grande mélancolie...

Des paroles noires sont inscrites sur du papier ensanglanté
Des paroles maccabres qui toute la nuit, ont été profanés
Et lorsque cette nuit laisse place à une nouvelle journée
Au petit matin est retrouvé un jeune homme suicidé

Un homme qui est poète est un homme trop romantique
Qui vit dans le rêve, dans in monde iddylique
Mais qui finit souvent dans la mélancolie
Oui... dans une grande mélancolie...
Oui... dans une grande mélancolie...
Oui... dans une grande mélancolie...

"Difficile est d'offrir son coeur,

difficile est d'offrir son coeur,

car souvent gouverner par la peur
face à cette chose qui est inconnue
ou que l'on a déjà connu

A la fois, le gardien, le médecin
le géôlier et son assassin
Ne viens pas me dire
que je suis pierre

Que puis-je te dire de plus,
je suis certes qu'un lâche
mais je préfère m'y résigner

devant les sentiments,je m'enfuis,
et dans l'ombre, je me cache
je ne veux plus voir mon coeur saigné